20 décembre 2009
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Ce phenomène date de l'époque post-independance, et malgré la fragile évolution vers le developpement de notre pays, nous ne sommes pas encore débarassé de ce fléau qui mine principalement les routes de la partie septentrionale du CAMEROUN. Cependant selon des sources concordantes, il en ressort que des chefs du village ,des El Hadj et certains hommes d'affaires riches et véreux sont les principales causes de persistance et de pérénisation de cette gangraine, nonobstant toutes les démarches entreprises par les pouvoirs publiques pour endiguer ce mal, on est au regret de constater que la réelle volonté de mettre fin à cette anarchie sur nos routes durant les voyages inter urbains, est la grande absente dans la politique sécuritaire de l'Etat ou alors de ceux qui prenne les décisions en haut lieux.
Ce mal est inconnu de la majeur partie des camerounais vivant hors du septentrion, notamment des principales villes comme Douala, Yaoundé et Baffousam; dès lors les journaux n'en parle que lorsque la brigade spéciale chargé de mettre fin à ce fléau exhibe ses prises de guerre. Mais combien de fois la communication gouvernementale a informé la populace des statistiques pouvant étayer une nette amélioration ou encore un quelconque recul de ce mal qui trouverais un appuis logistique auprès des guerrillas des pays voisins (TCHAD, RCA,NIGERIA) en homme comme en arme et surtout comme base arrière.
Pour l'homme de la rue ce mal n'existe que chez les pays voisins, cependant nous exhortons les pouvoirs publique de prendre le taureau par les cornes pour mettre fin à ce mal qui pourrait s'aggraver si rien n'est fait. Néanmoins nous encourageons déjà l'Etat à poursuivre son recrutement massif dans ce corps d'élite qu'est le BIR pour mieux lutter contre ce mal.
Ce mal est inconnu de la majeur partie des camerounais vivant hors du septentrion, notamment des principales villes comme Douala, Yaoundé et Baffousam; dès lors les journaux n'en parle que lorsque la brigade spéciale chargé de mettre fin à ce fléau exhibe ses prises de guerre. Mais combien de fois la communication gouvernementale a informé la populace des statistiques pouvant étayer une nette amélioration ou encore un quelconque recul de ce mal qui trouverais un appuis logistique auprès des guerrillas des pays voisins (TCHAD, RCA,NIGERIA) en homme comme en arme et surtout comme base arrière.
Pour l'homme de la rue ce mal n'existe que chez les pays voisins, cependant nous exhortons les pouvoirs publique de prendre le taureau par les cornes pour mettre fin à ce mal qui pourrait s'aggraver si rien n'est fait. Néanmoins nous encourageons déjà l'Etat à poursuivre son recrutement massif dans ce corps d'élite qu'est le BIR pour mieux lutter contre ce mal.