25 avril 2009
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Dans cet environnement de crise écnomique mondiale,l'on pourrait croire que comme tous les pays developpés ;le Cameroun découvre les travers d'une crise économique. Mais ce serait ne pas maîtriser son cours d'économie ,car le Cameroun est un pays pauvre et très endetté et grâce à cette position ,nous avons pu bénéfiier d'une aide des bailleurs de fons qui nous ont fait bénéficier du programme d'aide appeler Fonds PPTE.
Malheureusement pour les jeunes camerounais nés et grandis dans notre cher pays qu'on aiment bien,la vie n'a jamais été rose,aucun souvenir même le plus lointain ne nous permet de sourire.Car notre pays traverse les crises les unes après les autres sans jamais vraiment se relever. Dès lors,Tous diplomés ne peut compter que sur un emploi offert par la fonction publique car elle au moins assure une pérénité de l'emploi et une régulaité dans la perception du salaire de catéchiste qu'elle alloue à ses fonctionnaires contrairement aux secteurs privés et para-publiques qui eux payent bien mieux mais ne garantissent pas toujours un emploi à long terme.
Etant donné que la politique économique de notre pays repose uniquement sur ses recettes fiscales, l'on ne peut pas dire que le jeune camerounais soit encouragé à monter sa propre boite, il se retourne donc vers tout ce qui est concours ou recrutement direct ou indirect de la fonction publiqe; mais là se pose encore le problème de ce qu'on appelle communément réseau ou tuyau . Ce qui veut dire que si l'on n'est pas membre d'une famille nanti ,si 'on n'est pas le neveu d'un ministre ou d'un autre grand du gouvernement , l'on ne peut espérer voir son nom sur les listes finales d'admission. Et qui plus est , des cadres de ces ministères concernés par ces concours crée toutes sortes d'arnaques auprès des parents désireux de voir leurs enfants surfer avec le soleil de la stabiité pécunière. Ces cadres sans scrupules estorquent des sommes faramineusent auprès des dit parents qui ce sont endettés pour leurs progénitures ,et au final aucun résultats concluant. Un autre travers sévit autour de ces concours, notamment celui de la régionalisation. Car l'Etat ayant le soucis de représentativité de toutes les régions favorisent certains ressortissant au détriment des méritants, alors qu'on a jamais empêchés des ressortissants qui se disent marginalisé de faire leur études. Au final pour les camerounais originaires des régions comme le centre;l'ouets ou le Littoral, ils ont plutôt cette impression d'être défavorisés dans les concours de la fonction publique par ce système de régionalisation. La méritocratie est bel et bien morte quand bien même on doute qu'elle ait existé sous d'autres cieux au cameroun.
Malgré tout ce que l'on peut dérier dans ce système, le jeune de la rue continuera à monter son dossier pour le prochain concours où il a le profil et dans les prières attendra les résultats connu d'avance, bien que la reussite soit généralement une énorme suirprise dans les familles modestes, vers qui peut-on encore ce retourné si ce n'est vers le premier employeur qu'est l'Etat.
Malheureusement pour les jeunes camerounais nés et grandis dans notre cher pays qu'on aiment bien,la vie n'a jamais été rose,aucun souvenir même le plus lointain ne nous permet de sourire.Car notre pays traverse les crises les unes après les autres sans jamais vraiment se relever. Dès lors,Tous diplomés ne peut compter que sur un emploi offert par la fonction publique car elle au moins assure une pérénité de l'emploi et une régulaité dans la perception du salaire de catéchiste qu'elle alloue à ses fonctionnaires contrairement aux secteurs privés et para-publiques qui eux payent bien mieux mais ne garantissent pas toujours un emploi à long terme.
Etant donné que la politique économique de notre pays repose uniquement sur ses recettes fiscales, l'on ne peut pas dire que le jeune camerounais soit encouragé à monter sa propre boite, il se retourne donc vers tout ce qui est concours ou recrutement direct ou indirect de la fonction publiqe; mais là se pose encore le problème de ce qu'on appelle communément réseau ou tuyau . Ce qui veut dire que si l'on n'est pas membre d'une famille nanti ,si 'on n'est pas le neveu d'un ministre ou d'un autre grand du gouvernement , l'on ne peut espérer voir son nom sur les listes finales d'admission. Et qui plus est , des cadres de ces ministères concernés par ces concours crée toutes sortes d'arnaques auprès des parents désireux de voir leurs enfants surfer avec le soleil de la stabiité pécunière. Ces cadres sans scrupules estorquent des sommes faramineusent auprès des dit parents qui ce sont endettés pour leurs progénitures ,et au final aucun résultats concluant. Un autre travers sévit autour de ces concours, notamment celui de la régionalisation. Car l'Etat ayant le soucis de représentativité de toutes les régions favorisent certains ressortissant au détriment des méritants, alors qu'on a jamais empêchés des ressortissants qui se disent marginalisé de faire leur études. Au final pour les camerounais originaires des régions comme le centre;l'ouets ou le Littoral, ils ont plutôt cette impression d'être défavorisés dans les concours de la fonction publique par ce système de régionalisation. La méritocratie est bel et bien morte quand bien même on doute qu'elle ait existé sous d'autres cieux au cameroun.
Malgré tout ce que l'on peut dérier dans ce système, le jeune de la rue continuera à monter son dossier pour le prochain concours où il a le profil et dans les prières attendra les résultats connu d'avance, bien que la reussite soit généralement une énorme suirprise dans les familles modestes, vers qui peut-on encore ce retourné si ce n'est vers le premier employeur qu'est l'Etat.