31 octobre 2007
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Certaines feuilles de chou dont je préfère taire les noms avaient déjà fait leur une en disant comme quoi le vieux lion une fois de plus s'était dérobé fasse aux médias, devant lesquels il ne pouvait pas défendre la position du cameroun sur plusieurs dossiers d'actualités comme le Darfour ou le processus de paix qui traine en Côte d'ivoire, ou encore sur sa politique intérieur et son bilan économique; et surtout la polémique et le suspense qui plane sur sa fin de mandat prévu en 2011 et son hypothétique candidature.
Comme à l'accoutumé, le "Boss" de Mvog-meka a encore surpris plus d'un quand il accepté de participer à une émission télévisé intitulé "le Talk de paris", où plusieurs présidents africain avaient déjà eu à passer, et le dernier en date est son homologue Malien. S.E. Paul Biya s'est exprimé avec sérénité et beaucoup d'éloquence devant la multitudes de question qui lui ont été posé par le journaliste farnçais.Bien que sa dernière interview était sur une radio étrangère et remonte à plus de 17 ans.
Il s'est notamment exprimé sur sa succession au pouvoir et sa possible canditature, il a dit:" La constitution Camerounaise ne lui permet d'être candidat aux elections présidentielles de 2011, vu que s'était son dernier mandat.Et qu'il aurait pu changer la constitution depuis fort ongtemps vu qu'il bénéfiecais déjà d'une forte majorité bien avant les dernières législatives. Mais qu'il ne l'envisageait pas, et que les camerounais choisiront le moment venu un des candidats en lice à ces élections."
Et quand il été question de savoir s'il préparait un dauphin à sa succession, s'est en riant que le président a écarté cette hypothèse en disant comme quoi:" En démocratie il ne serait pas approprié de parler de dauphin dans des élections et a reconnu qu'au sein de son parti politique le RDPC( Rassemblement Démocratioque du Peuple Camerounais) beaucoup de haut membre ne veulent pas entendre parler de changement".
Il a aussi parler de toute l'implication de la 1ère Dame camerounaise dans le sociale, notamment avec sa fondation qui porte son, et qui a fait de la lutte contre les pandémies qui minent l'afrique et le cameroune en particulier , son cheval de bataille.
Pour ce qui concerne le rappatriement du corps de l'ex-président AHMADOU AHIDJO, le président s'est contenté de dire l'air un peu gêné par la question:" Que celà ne le regardais en rien, que c'est un problème familiale, et qu'il ne s'oppose pas au rappatriement de la dépouille de son prédecesseur" Il est claire que sur ce point le vieux lion a été irrité par la question et à peu convaincu par son plaidoyer sur cette question.
De cette interview , on a pu voir un homme d'Etat loin d'être affaibli par l'âge et en apparente bonne santé, contrairement à ce que présage s'est nombreux détracteurs. Mais on n'ignore pas que vu que cet interview n'a pas pu être fait en direct pour des besoins de prudence, Le vieux lion a été bien brieffé sur les sujets du questionnaire et n'a pas raté l'occassion de se monter fort devant sa nation et la scène internationa, en déclarant notamment qu'il ne comptait pas instaler une oligarchie dont certaines mauvaises langues lui en prêtent l'idée.
Sommes nous tombés dans le panneau ? Peut-on croire que le pays et son peuple se portent à merveille à en croire le discours de notre Président? Pour moi la réponse est claire "NON" les choses doivent changer , pas seulement dans les discours mais aussi dans leur application. Vivement une révolution orange...
Comme à l'accoutumé, le "Boss" de Mvog-meka a encore surpris plus d'un quand il accepté de participer à une émission télévisé intitulé "le Talk de paris", où plusieurs présidents africain avaient déjà eu à passer, et le dernier en date est son homologue Malien. S.E. Paul Biya s'est exprimé avec sérénité et beaucoup d'éloquence devant la multitudes de question qui lui ont été posé par le journaliste farnçais.Bien que sa dernière interview était sur une radio étrangère et remonte à plus de 17 ans.
Il s'est notamment exprimé sur sa succession au pouvoir et sa possible canditature, il a dit:" La constitution Camerounaise ne lui permet d'être candidat aux elections présidentielles de 2011, vu que s'était son dernier mandat.Et qu'il aurait pu changer la constitution depuis fort ongtemps vu qu'il bénéfiecais déjà d'une forte majorité bien avant les dernières législatives. Mais qu'il ne l'envisageait pas, et que les camerounais choisiront le moment venu un des candidats en lice à ces élections."
Et quand il été question de savoir s'il préparait un dauphin à sa succession, s'est en riant que le président a écarté cette hypothèse en disant comme quoi:" En démocratie il ne serait pas approprié de parler de dauphin dans des élections et a reconnu qu'au sein de son parti politique le RDPC( Rassemblement Démocratioque du Peuple Camerounais) beaucoup de haut membre ne veulent pas entendre parler de changement".
Il a aussi parler de toute l'implication de la 1ère Dame camerounaise dans le sociale, notamment avec sa fondation qui porte son, et qui a fait de la lutte contre les pandémies qui minent l'afrique et le cameroune en particulier , son cheval de bataille.
Pour ce qui concerne le rappatriement du corps de l'ex-président AHMADOU AHIDJO, le président s'est contenté de dire l'air un peu gêné par la question:" Que celà ne le regardais en rien, que c'est un problème familiale, et qu'il ne s'oppose pas au rappatriement de la dépouille de son prédecesseur" Il est claire que sur ce point le vieux lion a été irrité par la question et à peu convaincu par son plaidoyer sur cette question.
De cette interview , on a pu voir un homme d'Etat loin d'être affaibli par l'âge et en apparente bonne santé, contrairement à ce que présage s'est nombreux détracteurs. Mais on n'ignore pas que vu que cet interview n'a pas pu être fait en direct pour des besoins de prudence, Le vieux lion a été bien brieffé sur les sujets du questionnaire et n'a pas raté l'occassion de se monter fort devant sa nation et la scène internationa, en déclarant notamment qu'il ne comptait pas instaler une oligarchie dont certaines mauvaises langues lui en prêtent l'idée.
Sommes nous tombés dans le panneau ? Peut-on croire que le pays et son peuple se portent à merveille à en croire le discours de notre Président? Pour moi la réponse est claire "NON" les choses doivent changer , pas seulement dans les discours mais aussi dans leur application. Vivement une révolution orange...